Menuisier par passion

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Ou vais-je me mettre?
Ou vais-je me mettre? :

Avant toute chose, il faut préparer la zone de travail, dans mon cas, je n'ai pas beaucoup de place, le moteur est lourd,  et les travux vont durer longtemps. Donc il faut que je puisse travailler sur le moteur à temps perdu, sans qu'il ne me gêne dans l'atelier quand je ne suis pas dessus, et puisqu'on y est, si il était facile à manipuler sans se faire mal au dos se serait merveilleux... alors voyons qu'avont nous à disposition? un vieux banc de scie, un moyeu de roue et un peu de ferraille. Très bien sa fera l'affaire...


Le support moteur.
Le support moteur. :

Je passe les étapes, mais après de longues heures de découpes, soudures, meulage, re-découpes, re-soudures, re-meulage ect... voici un premier aperçu. de mon ancien banc de scie transformé en support moteur.


Gain de place.
Gain de place. :

Et oui rappelez vous l'idée du départ était de ne pas être dérangé quand je ne suis pas dessus. Donc une table de travail qui se replie c'est bien pratique!


La tête du support
La tête du support :

Pour travailler aisément sur mon moteur, j'ai fait un système de petits bras coulissants orientables que j'ai fixé sur le moyeu. Ce qui permet de fixer le moteur par les différents filetages qu'il comporte et le faire tourner sur lui même. J'ai également fait un système de pige coulissante à rappel par ressort qui s'emboite dans des perçage opposés pour bloquer le moteur dans la position voulue. Pour ceux qui ont déjà restauré un moteur, comme vous le savez, je n'ai rien inventé. Il existe des supports moteur tout prêt dont le prix varie entre 50 et 250 €. Pour ma part j'ai opté pour le plaisir de "faire soi-même".


ça prend forme
ça prend forme :

Bon voilà qui avance. Le support est prêt, les roues sont défilitivement fixées, le brancard est installé et pour travailler proprement, il faut des outils propre, donc un bon brossage et deux couches de peintures.